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L'accompagnement

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Lorsque vous entreprenez une démarche de bilan, vous commencez souvent par rencontrer plusieurs prestataires avant de faire votre choix. Plusieurs critères entrent en jeu : modalités (présentiel ou distanciel), lieu pour le présentiel, coût, supports et outils proposés (tests, méthodes, base d'informations et de documentation…), nombre et durée des séances en face à face, disponibilité et expertise du consultant…

C'est ce que vous conseillent les organismes financeurs, et c'est également une question de bon sens : au-delà des critères que l'on vient de citer, le bilan est un aussi un travail personnel, qu'on ne saurait faire avec plaisir sans affinités avec la personne avec laquelle on travaille.

Il m'est donc paru important de laisser voir ce qui m'anime dans l'accompagnement que je vous propose.

C'est à travers les textes suivants que j'ai choisi de le faire….

"A partir du moment où l'on s'est engagé définitivement, la providence entre alors en scène.

Toutes sortes de choses se produisent qui, autrement, ne se seraient jamais produites.

De la décision jaillit un flot d'événements qui déterminent en votre faveur quantité d'incidents, de rencontres et d'appuis matériels imprévus qu'aucun homme n'aurait pu imaginer.

Ce que vous pouvez faire ou rêver de faire, commencez à le faire. L'audace est porteuse de génie, de puissance ou de magie.

Commencez dès maintenant."

Goethe

"Quand j'étais petit, j'adorais le cirque (…) L'éléphant en particulier me fascinait; (…). Pendant son numéro, l'énorme bête exhibait un poids, une taille et une force extraordinaires. Mais, tout de suite après et jusqu'à la représentation suivante, l'éléphant restait toujours attaché à un petit pieu fiché en terre par une chaîne qui retenait l'une de ses pattes prisonnière.              
Or ce pieu n'était qu'un minuscule morceau de bois à peine enfoncé de quelques centimètres dans le sol. Et bien que la chaîne fût épaisse et résistante, il me semblait évident qu'un animal capable de déraciner un arbre devait facilement pouvoir se libérer et s'en aller.             
Le mystère restait entier à mes yeux.   
Alors, qu'est-ce qui le retient?  
Pourquoi ne s'échappe-t-il pas?
Il y a quelques années, j'eus la chance de tomber sur quelqu'un d'assez savant pour connaître la réponse :         
L'éléphant du cirque ne s'échappe pas parce que, dès son plus jeune âge, il a été attaché à un pieu semblable.   
Je fermai les yeux et j'imaginai l'éléphant nouveau-né sans défense, attaché à ce piquet. Je suis sûr qu'à ce moment l'éléphanteau a poussé, tiré et transpiré pour essayer de se libérer, mais que, le piquet étant trop solide pour lui, il n'y est pas arrivé malgré tous ses efforts.      
Je l'imaginai qui s'endormait épuisé et, le lendemain, essayait de nouveau, et le surlendemain…et les jours suivants…jusqu'à ce qu'un jour, un jour terrible pour son histoire, l'animal finisse par accepter son impuissance et se résigner à son sort. Cet énorme et puissant pachyderme que nous voyons au cirque ne s'échappe pas, le pauvre, parce qu'il croit en être incapable.

Extrait de : Laisse-moi te raconter… les chemins de la vie, Jorge Bucay

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